28.11.18

3 films de ma sélection Best for Fests sélectionnés au nouveau festival Ma Planet (e)


1ère édition du festival MAPLANET(e) vient de se conclure avec un joli succès et une programmation de  films de tous genres dédiés à la transition écologique et aux relations entre les sociétés humaines et la nature. Courts, longs, fictions, docus, et plus encore !
3 films que je défends faisaient partie de la sélection officielle.


L’Aquablier récompense les lauréats, une oeuvre réalisée par l’artiste Jean Pierre Hugon, il symbolise le temps qui passe et l’urgence à agir pour contenir le réchauffement climatique. Son matériau en acier Corten nous remémore l’histoire sidérurgique de la Région
Lorraine.

Le prix spécial Théodore Monod fut remis par les associations fondatrices du festival.

En 1941, Théodore Monod alertait déjà sur les effets des activités humaines sur le climat : « Il faudrait que l’homme accepte de se réconcilier avec la nature. Il faut quand même finir par comprendre que tout se tient, que nous sommes dans un seul cosmos et que nous ne sommes pas seuls. Qu’il y ait une réconciliation entre les êtres vivants ».

Plus tard encore il écrit, « Le 4 août 1948, nous avons quitté l’ère chrétienne pour rentrer dans l’ère atomique. Pour la première fois dans l’histoire, l’être humain a été atteint dans son devenir biologique et génétique ».

Théodore Monod était un écologiste de la toute première heure qui consacra sa vie à la défense de la nature, des droits de l’homme et des animaux, pour une justice sociale et un monde plus juste. Pacifiste et non violent infatigable, chaque été, au moment des commémorations de Hiroshima et Nagasakil il jeûnait devant le PC des forces françaises aériennes stratégiques à Taverny pour protester contre l’arme nucléaire .

Sa bonté, son humilité, son humour ont fait de Théodore Monod, un être exceptionnel, un modèle pour beaucoup.

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